La proximité pour boussole
En 2017, pour me conformer à la loi sur le non-cumul des mandats, j'ai renoncé à la députation pour privilégier mes mandats locaux.
J'ai fait le choix de la proximité.
J’ai aimé la tâche parlementaire, indispensable et structurante.
Mais j’apprécie davantage le travail d’élu local, ancré dans l’action.
Il correspond mieux à ma nature, à mon souci de concrétiser.
Et quand je vois le tohu-bohu auquel se réduit aujourd’hui le débat national, je ne regrette surtout pas mon choix. Alors que tant de défis sont devant nous, il se résume trop souvent à des polémiques futiles sur les plateaux télé, où politiques et éditorialistes se confondent dans l’incantation stérile.
Je préfère, vraiment, me confronter aux réalités de mon territoire.
Cela représente plus de difficultés, mais aussi plus de satisfactions.
Protéger les Maralpins, soutenir ceux qui vivent des moments délicats, aménager le département pour le rendre plus attractif et plus agréable à vivre, favoriser l’équité territoriale, ces multiples challenges me passionnent.
Parce qu’ils appellent, forcément, des solutions concrètes : construction de collèges et de casernes de pompiers, déploiement de la fibre, ouverture de campus connectés pour l’égalité des chances, réparation et protection des vallées sinistrées, résorption des nœuds routiers, mobilités douces…
Pour répondre à tous ces objectifs, je ne connais qu’une manière de faire de la politique : arpenter le terrain. Encore et encore. Il s’agit de rencontrer, d’écouter, de prendre le pouls des territoires pour répondre à leurs besoins.
Telle a toujours été ma démarche, comme élu local à Péone, président de la Communauté de communes des Alpes d’Azur ou président du Département.
C’est bien cette envie de terroirs et de rencontres humaines qui motive de nouveau ma candidature pour continuer à défendre les intérêts du canton de Vence, avec Anne Sattonnet, comme des Alpes-Maritimes tout entières.
Mon avenir, c’est vous, je l’espère. Car ma motivation, c’est vous !